[Marcel Treich-Laplène (1860-1890) premier... - Lot 631 - Ader

Lot 631
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[Marcel Treich-Laplène (1860-1890) premier... - Lot 631 - Ader
[Marcel Treich-Laplène (1860-1890) premier explorateur de la Côte d’Ivoire et son premier administrateur colonial]. 31 pièces, la plupart tapuscrits ou copies, 1929-1941 ; environ 100 pages in-4 principalement. Ensemble de documents rassemblés par Odette Valentine Treich-Laplène, sœur de l’explorateur, durant sa campagne de huit années menée sous l’égide d’un Comité de soutien, et notamment par Camille Devilar, pour rétablir le statut de véritable fondateur de la Côte d’Ivoire de Marcel Treich-Laplène, spolié par Gustave Binger. [Ces efforts aboutiront, le 27 décembre 1934, à la création de Treichville sur le site d’Anoumabo, en écho à Bingerville]. Extrait des registres des délibérations du Conseil municipal d’Ussel en Corrèze du 9 février 1930, émettant le souhait que la cité d’Abidjan porte le nom de l’explorateur (2 ex.). Liste des membres du Comité de soutien Treich-Laplène au 1er mai 1930. Copies d’articles de journaux : extrait de la Revue de l’Histoire des Colonies Françaises (n°6 novembre-décembre 1929), « Pour un héros oubliée » par Émile Labarthe (Le Petit Sénégalais, 21 juin 1912), « Français et Anglais à la Côte d’Ivoire » par Camille Devilar (Le Temps, 25 février 1932), « Les Artisans de la plus grande France : Treich-Laplène ou Binger ?) » par le même (La Patrie, 30 juillet 1932). 9 lettres par Odette Valentine Treich-Laplène (1929-1941, quelques doubles de réponses joints, dont un du maréchal Pétain), courriers relatifs à la revendication du nom de Treichville comme capitale de la Côte d’Ivoire, aux corrections biographiques à apporter à plusieurs ouvrages historiques, et aux démarches pour rectifier les inscriptions sur les monuments élevés à la mémoire de Binger. 4 lettres de Devilar : protestation communiquée aux amis et partisans de l’explorateur Binger suite aux communications faites par René Bouvier à l’Académie des Sciences Coloniales (5 mars 1938), copie manuscrite d’une longue lettre à Bouvier démontrant qu’  « il n’y a pas rival
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